Bonjour Monsieur
Je répond à votre mail ci-dessous, en le corrigeant.
Bien à vous.
Jean-François Ortolo
Post by Pierre MauretteCe qui se lit dans votre CV, c'est ce que vous semblez vouloir cacher,
tout en vous vous refusant "religieusement" le droit au mensonge.
Je résume, étant entendu que le lecteur recruteur choisira toujours
"son" pire: la cinquantaine, gros QI. Exclusion d'un école d'ingénieur.
En fait, il se trouve que j'ai été en butte à la persécution d'un
dignitaire religieux copmplètement parano ( que je ne nommerai pas ), et
qu'à l'époque je ne le savais pas.
J'ai été psychosé à donf, et interné sans savoir pourquoi, alors que
j'avais vu un psychiatre une semaine avant, pour lui faire part de mes
angoisses, et de ma volonté d'entreprendre une psychanalyse, que
malheureusement je ne pouvais pas imposer à mes parents, compte tenu de
son coût.
Ce crétin de psy ne m'a rien dit, n'a rien dit à mes parents, une
semaine après, ma mère m'ayant pressé de questions, j'ai fait une crise
de pleurs dans le salon de mes parents en présence de ma mère, qui a
appelé mon père au bureau, qui a téléphoné au Samu, qui a conseillé de
me faire consulter au CPOA ( urgences ) de Sainte Anne.
Mon père et moi sommes allés dans sa voiture, sans que je sache où on
allait, il ne répondait à aucune de mes questions. On a attendu dans la
salle d'attente du CPOA sans que je sache où c'était, et puis j'ai vu
arriver une vieille femme portée par deux infirmiers, et j'ai pensé,
brusquement, que l'on voulait m'interner sans raison.
J'ai voulu m'enfuir en allant vers la porte de sortie de Sainte Anne,
mais on m'a rattrapé, et on m'a interné au CHS de Maison Blanche dans le
Val de Marne, où ma soeur est venu me visiter au bout de quelques
jours/semaines. J'ai reçu des médicaments à très haute dose, comme c'est
l'habitude pour les nouveaux, dans cet endroit qui pour moi, n'était
apparemment qu'une prison, et non pas un lieu de soin.
C'était une hospitalisation "à la demande d'un tiers", si je ne me
trompe pas, mais je suis sorti contre avis médical un mois après
l'internement grâce à ma soeur, qui a bien vu l'incohérence du
processus, puis j'ai vu un psychiatre/psychanalyste en psychothérapie,
comme je le souhaitais, après être sorti.
J'ai fait une TS ( tentative de suicide en état second, alors que
j'ai pris du tranxène à dose normale, pour calmer mes angoisses, je ne
vous dis pas dans quelles circonstances, mais ce suicide a eu lieu en
état second, dans ce que j'ai entendu évaluer par la suite comme un
"raptus d'angoisse", qui était justifié par la peur que l'on m'interne
de nouveau. Il faut dire que mon environnement était dénué de toute
rationnalité sur le plan de l'expression, par exemple l'amie de ma soeur
qui me dit "Tu vas à l'HP". Ce n'est qu'un exemple.
J'ai récupéré d'une chute de un étage ( je crois ), sur du béton, au
CHU d'Ambroise Paré, où j'ai quand même passé 7 ou 8 mois, pour me
remettre de mes nombreuses fractures, et où un psychiatre m'a pris en
charge ( les suicides, vous comprenez... ), puis j'ai entrepris, chez
mes parents de nouveau, ma rééducation fonctionnelle, très douloureuse,
et réappris à marcher.
Il était dès lors strictement impossible que je continue cette Ecole
d'Ingénieur, non seulement à cause de l'abrutissement des médicaments
psychotropes donnés par le psy, mais surtout car il m'était impossible
de monter ni de descendre un escalier, même avec rampe, et que je ne
marchais qu'avec des douleurs très violentes.
Je ne pouvais donc pas, à l'époque, me déplacer en métro, mais je
pouvais, à la rigueur, prendre le bus, ce qui fait que j'ai suivi en
auditeur libre, un an en Economie à l'Université Paris II Assas, ce qui
m'a revigoré sur le plan intellectuel.
Au bout d'un an, en fin 1980, je me suis inscrit à l'ANPE, qui m'a
dirigé vers un stage d'Analyste programmeur bac + 2, où j'ai été reçu
premier aux tests ;)
La suite coule de source, j'ai eu ces deux périodes d'essai à la
Sligos et à Terapharm Recherches mentionnées dans mon CV, et puis
entre-temps j'ai changé de psychanalyste ( j'avais demandé à mon
psychiatre d'Ambroise paré la permission de faire une psychothérapie
aurprès d'un psychiatre-psychanalyste, qu'il m'avait accordée ).
Le psychanalyste m'a laissé tombé en plein transfert, ce qui a fait
que mon état s'est détérioré, et que, mon psychiatre actuel ( ce n'était
plus celui d'Ambroise paré ) étant trop cool, j'ai suivi la spirale de
rupture de soin, puis j'ai été reinterné, en Août 1985, jusqu'en
Décembre 1991 ( 6 ans ), le placement d'office a été commué en placement
libre en Juin 1986 seulement, car, dixit la Chef de service, il fallait
attendre un peu pour que cette modification paraisse justifiée aux
services administratifs.
Vous comprenez bien que, j'avais d'excellentes relations avec la Chef
de service, qui m'a d'abord proposé une psychothérapie avec elle à
l'intérieur du CHS ( c'était encore Maison Blanche ), et que, elle m'a
gardé très longtemps, essentiellement car je n'avais plus de logement à
moi, car sa propriétaire avait jugé bon de ne pas renouveler le bail,
alors que je payais les loyers rubis sur l'ongle.
D'autre part, cette longueur qu'a eu mon internement, avait ( c'est
mon avis ), une cause profonde, c'était de détourner la persécution du
religieux en question, dont on aurait pu s'attendre à ce que son statut
hiérarchique religieux monte un tantinet, ce qui aurait été favorisé par
ma sortie ( Oui celà paraît incroyable, mais les paranos lâchent du lest
quand ils croients que leur victime est folle ).
Donc, je suis sorti le 21 Décembre 2001, puis j'ai suivi un parcours
sans fautes, et j'ai emménagé dans mon logement actuel, en Avril 1993,
où je vis depuis lors.
J'ai fait deux stages, en 1993 et en 1997, décrits dans mon CV.
Mes tentatives multiples pour trouver du travail, se sont avérées
intructueuses, ce que j'attribue à divers facteurs, dont ceux que vous
mentionnez à propos de mon CV, et du fait que je ne suis pas "dans le
moule", et également, jusqu'à récemment à cette persécution.
Depuis quelques mois, le religieux en question n'est plus dangereux,
il est devenu vieux, et n'a plus aucun pouvoir dans son milieu. Son
influence est réduite par le fait ( je ne suis pas sûr de celà
d'ailleurs ), qu'il a cette réputation dans son milieu religieux,
d'eêtre plutôt parano, et puis les choses ont changé, ce qui a été rendu
possible ( je suis loin de plaisanter ) par la longueur de mon internement.
J'ajoute, que je n'ai jamais connu la prison ni le sort d'un SDF, ce
que, je pense, cet internement m'a épargné.
Je rconnais que, certaines choses que je dis puissent paraître
incroyables et même délirantes, mais celà fait partie des choses que je
sais, et que je ne dis pas.
Vous m'excuserez aussi, de ne pas donner de noms.
Bien à vous.
Amicalement.
Jean-François Ortolo
Post by Pierre MauretteSi vous voulez prospecter les voies normales d'une recherche d'emploi,
ce qui n'est pas gagné, vous DEVEZ bidonner. Mais vous devez en
parallèle mettre en place une seconde stratégie, à visage découvert
cette fois, en restant dans le cadre somme toute aidé de votre réinsertion.
Désolé si je me suis en partie trompé, désolé si j'ai été trop direct.
Vous pouvez éventuellement me contacter par mail.
* Qu'il soit clair que je n'en sais rien, je me mets à la place d'un
lecteur professionnellement pessimiste et méfiant.
Je comprend bien
Je suis classé Travailleur handicapé catégorie B, depuis 1996 ou 1998
je crois, et ma recherche d'emploi s'est effectuée dans ce cadre, à une
époque où l'influence du religieux en question, était plus forte.
Je ne cherche pas réellement d'emploi actuellement, car mon père est
vieux, et je tiens à être entièrement disponible le moment venu.
Je compte surtout, sur le fait, à terme, de rentabiliser mon site de
Courses de Chevaux ( voir ma signature ci-dessous ), bien que sa
rentabilité ne soit pas certaine.
Je me prépare à faite un site Internet de bon niveau pour une
association, ce qui sera un plus pour mon portfolio, et me permettra
d'approfondir mon expérience de webmaster.
Je fais celà comme bénévole, l'argent n'est pas ma préoccupation
principale, avec tout ce que celà comporte de risques, et de stress.
J'envisage mon retour à un statut salarié, comme progressif, et je ne
cherche pas à brûler les étapes.
Je vous suis reconnaissant d'être allé jusqu'au fond des choses, et
j'espère que ce que j'ai dit ci-dessus, ne vous choque pas trop.
Bien à vous.
Amicalement.
Jean-François Ortolo
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